Voulant faire fructifier le patrimoine de son défunt mari, non seulement Thérèse de Couagne poursuit-elle les activités commerciales entreprises par celui-ci, mais elle forme une nouvelle compagnie avec ses anciens associés afin de continuer d’exploiter les Forges de St-Maurice. L’histoire se souviendra davantage d’elle comme propriétaire de l’esclave Marie-Joseph-Angélique accusée d’avoir provoqué l’incendie de 1734 à Montréal.

Détail de la fresque présentant les personnages-clés du procès de Marie-Josèphe-Angélique
Marie-Denise Douyon, technique mixte (pastel, huile, térébenthine) sur papier marouflé sur toile
Source : Collection du Centre d’histoire de Montréal
© Centre d’histoire de Montréal
Marie-Denise Douyon, technique mixte (pastel, huile, térébenthine) sur papier marouflé sur toile
Source : Collection du Centre d’histoire de Montréal
© Centre d’histoire de Montréal
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