Chroniques

Jan 01
Avocates pionnières du Québec. Elizabeth Monk, Marcelle Hémond-Lacoste, Suzanne Raymond-Filion et Constance Short.
Wikimedia Commons. File:Avocates pionnières du Québec.png. Archives de la Montreal Gazette

1941Admission des femmes au Barreau

C’est depuis 1915 que des femmes diplômées en droit, dont Annie Langstaff, Elizabeth Carmichael Monk et Suzanne Raymond-Filion, réclamaient le droit à la pratique juridique. Ces deux dernières qui possédaient un baccalauréat ès arts seront admises au Barreau, suivies en 1942 par Marcelle Hémond et Constance Garner Short.

https://histoiredesfemmes.quebec/pdf/Monk.pdf

https://histoiredesfemmes.quebec/pdf/Langstaff.pdf


Jan 01
Oct 22
Jan 01
Liste des premiers cours de l’École de service social extraite de l’annuaire 1944-1945.
Liste des premiers cours de l’École de service social extraite de l’annuaire 1944-1945. (Fonds Faculté des sciences sociales, U567/43/1) Source: https://www.expo-virtuelle.fss.ulaval.ca/debuts-des-departements/ecole-de-service-social.html

1941Hayda Denault (1899-2001)

Après des études en service social à New York et à Montréal, la journaliste Hayda Denault devient la première travailleuse sociale professionnelle de la ville de Québec, où elle fonde le Service familial de Québec. En 1943, elle participe à la création de l’École de service social de l’Université Laval et y enseigne pendant vingt ans.  L’Ordre du Canada lui a été décerné en 1975 pour sa contribution à la formation des travailleuses et travailleurs sociaux.


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À l’usine de fusils-mitrailleurs Bren de la John Inglis Co., une ouvrière affectée aux munitions soude des lames-chargeurs de fusils mitrailleurs Bren.
Toronto, vers 1941
Source : Bibliothèque et Archives Canada. Office national du film du Canada – Photothèque, numéro d’acquisition 1971-271, R1196-14-7-E

1941Participation des femmes à l’effort de guerre

L’effort de guerre entraîne une mobilisation importante des femmes au sein de la population active. Elles y exercent des métiers traditionnellement réservés aux hommes, tout particulièrement dans les usines de munitions. Plusieurs autres Québécoises s’enrôlent dans les forces armées à titre d’infirmières, mécaniciennes, sténographes, etc., et plusieurs d’entre elles seront affectées outre-mer. À Montréal, six garderies, dont deux seulement sont destinées aux francophones, sont créées par le gouvernement fédéral pour accueillir les enfants dont les mères sont engagées dans un travail reconnu comme essentiel à « l’effort de guerre ». Les autorités religieuses québécoises continueront de s’opposer au travail des femmes pendant toute la durée de la guerre et les garderies seront fermées dès la fin de celle-ci.


Jan 01